Tel est pris qui croyait prendre ou l’arroseur est-il arrosé ? Ces rocambolesques histoires de protocole commencent à pourrir l’atmosphère politique du Sénégal. Le pays a connu le protocole de Rebbeuss qui avait opposé un puissant Premier ministre, d’alors à son mentor de président. Bref Ngorsi et Gorgui ont eu leur Protocole de Rebeuss. Et la fin, à cette époque, avait justifié les moyens. C’était à une époque où l’on s’époumonait à longueur de journée à défendre Ngorsi à travers des émissions interactives telles que « Wakh Sa khalat » (opinion en français). Dans ces émissions, les Sénégalais avaient même fini par épouser des noms comme « Diouf normal », « Ayoba Lo sa Niomré » etc. Alors Idrissa Seck que l’on surnommait Ngorsi, élargi de prison entama une nouvelle carrière politique. Dont il peine, jusqu’à présent, à assurer la constance.
Quelques années après rebelote. Un autre protocole, celui de Doha qui avait opposé un fils d’un ancien président au successeur de son père. Sous l’ombre duquel a grandi l’actuel locataire du palais présidentiel. La formulation et le fond du protocole était le chemin de l’exil. Et la suite on la connait, un vol, nuitamment affrété à Karim Wade direction Doha, capital du Qatar.
L’autre protocole est celui du maire de Dakar, en 2019. Après deux ans de prison, Khalifa Sall est sorti en catimini de prison, sous fond d’intenses négociations. Mais avant cela, le maire de Dakar a été empêché de se présenter à l’élection présidentielle de la même année.
Aujourd’hui encore, un autre protocole est dans l’air du temps. Il s’agit du protocole de Cap Manuel. Les rumeurs enflent de jour en jour sur ce « fameux protocole ». Il est mystérieusement entretenu et nourri par deux médiateurs, Pierre Goudiaby Atépa et Aliou Tine. Les deux, sur tous les toits, justifient la nécessité de la tenue de ce protocole. Mais le chemin reste parsemé d’embuches.
A partir de ce moment est né ou un tohu-bohu distillant des avis antagonistes sur un éventuel protocole de Cap Manuel. A présent, l’on ne sait pas encore à quel Saint se fier. Tout est reste flou sur cette affaire.
Quelques années après rebelote. Un autre protocole, celui de Doha qui avait opposé un fils d’un ancien président au successeur de son père. Sous l’ombre duquel a grandi l’actuel locataire du palais présidentiel. La formulation et le fond du protocole était le chemin de l’exil. Et la suite on la connait, un vol, nuitamment affrété à Karim Wade direction Doha, capital du Qatar.
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