Le Secrétaire générale du Groupe de recherche et d’appuis, conseil pour la démocratie participative et la bonne gouvernance (Gradec), Babacar Fall a déclaré, à la suite de la nomination de Seydou Nourou Bâ qu’ «en plus du choix porté sur cet homme, le gouvernement doit encore travailler à rassurer tous les acteurs».
«Nous connaissons parfaitement Seydou Nourou Bâ. Nous avons un préjugé favorable par rapport à sa neutralité par rapport à son expertise et à sa compétence. Mais la nomination de l’ambassadeur Seydou Nourou Bâ à elle seule n’est pas une condition suffisante pour ramener l'autre partie de l’opposition à la table des concertations. Il faudrait poser un certain nombre d’actes qui puissent faire revenir la confiance. Parce que le problème aujourd’hui, c’est la confiance et également l’absence d’engagements du gouvernement pour appliquer sans y changer une virgule les conclusions consensuelles qui seront issues de ces travaux», a-t-il déclaré.
Invité de "Zik midi", Babacar Fall n'a pas manqué d'expliquer que «ce n’est pas le gouvernement qui s’est levé un bon jour pour désigner Seynou Nourou Bâ, c’est à la suite des exigences de la société civile et des différents pôles que ce soit l’opposition, les non-alignés, qui sont à la concertation, qui avait déjà proposé une liste de personnalités neutres pour vraiment faire une condition pour démarrer les concertations». Ce, avant de lancer qu'« a priori, (le Gradec) a un préjugé favorable à sa neutralité, son expérience mais jugera (l'Ambassadeur à la retraite) sur pièce par rapport aux actes qu’il aura à poser».
«Nous connaissons parfaitement Seydou Nourou Bâ. Nous avons un préjugé favorable par rapport à sa neutralité par rapport à son expertise et à sa compétence. Mais la nomination de l’ambassadeur Seydou Nourou Bâ à elle seule n’est pas une condition suffisante pour ramener l'autre partie de l’opposition à la table des concertations. Il faudrait poser un certain nombre d’actes qui puissent faire revenir la confiance. Parce que le problème aujourd’hui, c’est la confiance et également l’absence d’engagements du gouvernement pour appliquer sans y changer une virgule les conclusions consensuelles qui seront issues de ces travaux», a-t-il déclaré.
Invité de "Zik midi", Babacar Fall n'a pas manqué d'expliquer que «ce n’est pas le gouvernement qui s’est levé un bon jour pour désigner Seynou Nourou Bâ, c’est à la suite des exigences de la société civile et des différents pôles que ce soit l’opposition, les non-alignés, qui sont à la concertation, qui avait déjà proposé une liste de personnalités neutres pour vraiment faire une condition pour démarrer les concertations». Ce, avant de lancer qu'« a priori, (le Gradec) a un préjugé favorable à sa neutralité, son expérience mais jugera (l'Ambassadeur à la retraite) sur pièce par rapport aux actes qu’il aura à poser».
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