Munis de leur écharpe d’élus, ils partiront de la maison des élus jusqu’au centre Daniel Brottier, le point de chute de leur marche. Une fois sur les lieux, ils vont faire face à la presse.
Leur doyen Doudou Issa Niasse, maire de la commune d’arrondissement de Biscuiterie, plante le décor de cette journée. « C’est pour lutter contre les abus. Notre camarade Barthélémy Dias est incarcéré injustement depuis un certain temps ; nous allons nous battre pour obtenir son élargissement ».
Les maires entendent aussi dénoncer l’ostracisme dont ils estiment être victimes. « Nous ne pouvons rien faire, faute d’argent. L’Etat nous a coupé le robinet et cette situation dure depuis deux mois », déplore Doudou Issa Niasse.
Selon le journal « Le Quotidien », certains parmi les maires de la mouvance présidentielle partagent le combat de leurs pairs de Bennoo, mais ces derniers ont préféré les excuser pour ne pas davantage les exposer.
Barthélémy Dias a été mis aux arrêts pour « homicide volontaire, port d’arme sans autorisation administrative », entre autres. Pour l’heure, le jeune maire socialiste reste emprisonné à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss, après la grâce présidentielle en faveur du leader de Convergence socialiste, en l’occurrence Malick Noël Seck.
Leur doyen Doudou Issa Niasse, maire de la commune d’arrondissement de Biscuiterie, plante le décor de cette journée. « C’est pour lutter contre les abus. Notre camarade Barthélémy Dias est incarcéré injustement depuis un certain temps ; nous allons nous battre pour obtenir son élargissement ».
Les maires entendent aussi dénoncer l’ostracisme dont ils estiment être victimes. « Nous ne pouvons rien faire, faute d’argent. L’Etat nous a coupé le robinet et cette situation dure depuis deux mois », déplore Doudou Issa Niasse.
Selon le journal « Le Quotidien », certains parmi les maires de la mouvance présidentielle partagent le combat de leurs pairs de Bennoo, mais ces derniers ont préféré les excuser pour ne pas davantage les exposer.
Barthélémy Dias a été mis aux arrêts pour « homicide volontaire, port d’arme sans autorisation administrative », entre autres. Pour l’heure, le jeune maire socialiste reste emprisonné à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss, après la grâce présidentielle en faveur du leader de Convergence socialiste, en l’occurrence Malick Noël Seck.
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