Deux autres militaires ont été inculpés en France le jeudi 1er juin, a appris l’AFP, dans l’affaire de la mort de 27 migrants après le naufrage de leur embarcation dans la Manche fin 2021. Des échanges téléphoniques laissent penser que les secours français ont mal évalué l’urgence des appels de détresse. Cinq militaires ont déjà été inculpés pour non-assistance à personne en danger.
L’enquête se poursuit. Deux autres militaires ont été inculpés en France, jeudi 1er juin 2023, dans l’affaire de la mort de 27 migrants après le naufrage de leur embarcation dans la Manche fin 2021, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources proches de l’enquête et judiciaire.
Un total de sept militaires français inculpés
Avec ces nouvelles inculpations, sept militaires au total sont, à l’heure actuelle, inculpés dans le cadre de ce dossier instruit par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) du tribunal judiciaire de Paris. Les autorités françaises sont soupçonnées d’avoir été appelées à l’aide à une quinzaine de reprises et de ne pas avoir porté secours aux migrants la nuit du naufrage, rappelle l’AFP.
Selon la source proche de l’enquête, les deux militaires inculpés jeudi étaient à bord du patrouilleur de la marine française le « Flamant ». Ce bâtiment naviguait à « proximité relative » du canot où se trouvaient les migrants, a précisé la source judiciaire. Dans cette affaire, dix passeurs présumés, majoritairement afghans, ont aussi déjà été mis en examen.
L’enquête se poursuit. Deux autres militaires ont été inculpés en France, jeudi 1er juin 2023, dans l’affaire de la mort de 27 migrants après le naufrage de leur embarcation dans la Manche fin 2021, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources proches de l’enquête et judiciaire.
Un total de sept militaires français inculpés
Avec ces nouvelles inculpations, sept militaires au total sont, à l’heure actuelle, inculpés dans le cadre de ce dossier instruit par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) du tribunal judiciaire de Paris. Les autorités françaises sont soupçonnées d’avoir été appelées à l’aide à une quinzaine de reprises et de ne pas avoir porté secours aux migrants la nuit du naufrage, rappelle l’AFP.
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