L'enquête judiciaire sur le naufrage de migrants dans la Manche, qui a fait 27 morts fin novembre, se poursuit pour identifier les responsables de ce drame. Une personne a été mise en examen et placée en détention provisoire mercredi et neuf autres sont présentées jeudi 30 juin à un juge d'instruction parisien, a indiqué une source judiciaire.
Au total, 15 personnes – 13 hommes et deux femmes – avaient été interpellées dimanche et lundi, selon cette source, confirmant une information du Parisien et de RTL.
Cinq ont été libérées sans poursuite à ce stade.
Une information judiciaire a été ouverte en décembre au tribunal judiciaire de Paris notamment pour homicides et blessures involontaires, mise en danger d'autrui et aide à l'entrée et au séjour d'un étranger en France en bande organisée.
Les neuf autres sont en cours de présentation à un juge d'instruction, également en vue d'une mise en examen.
Vingt-sept migrants âgés de 7 à 46 ans étaient morts le 24 novembre dans le naufrage de leur bateau pneumatique au large de Calais, alors qu'ils tentaient de rejoindre la Grande-Bretagne. Il y avait 16 Kurdes d'Irak, un Kurde d'Iran, 4 Afghans, 3 Éthiopiens, une Somalienne, un Égyptien et un Vietnamien.
Deux hommes seulement, un Kurde irakien et un Soudanais, avaient pu être secourus.
Ce naufrage, le plus meurtrier depuis que les migrants tentent de traverser la Manche, avait suscité un vif émoi en Europe et relancé les tensions entre la France et le Royaume-Uni.
Au total, 15 personnes – 13 hommes et deux femmes – avaient été interpellées dimanche et lundi, selon cette source, confirmant une information du Parisien et de RTL.
Cinq ont été libérées sans poursuite à ce stade.
Une information judiciaire a été ouverte en décembre au tribunal judiciaire de Paris notamment pour homicides et blessures involontaires, mise en danger d'autrui et aide à l'entrée et au séjour d'un étranger en France en bande organisée.
Les neuf autres sont en cours de présentation à un juge d'instruction, également en vue d'une mise en examen.
Vingt-sept migrants âgés de 7 à 46 ans étaient morts le 24 novembre dans le naufrage de leur bateau pneumatique au large de Calais, alors qu'ils tentaient de rejoindre la Grande-Bretagne. Il y avait 16 Kurdes d'Irak, un Kurde d'Iran, 4 Afghans, 3 Éthiopiens, une Somalienne, un Égyptien et un Vietnamien.
Deux hommes seulement, un Kurde irakien et un Soudanais, avaient pu être secourus.
Ce naufrage, le plus meurtrier depuis que les migrants tentent de traverser la Manche, avait suscité un vif émoi en Europe et relancé les tensions entre la France et le Royaume-Uni.
Autres articles
-
Guinée: une présidentielle qui marque le retour à l'ordre constitutionnel
-
Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale
-
Est de la RDC: comment réagit la communauté internationale à l’offensive de l’AFC/M23
-
Commerce: une taxe de 3 euros imposée sur tous les petits colis importés dans l'UE à partir du 1er juillet 2026
-
Tentative de coup d’État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l’appui militaire d’Abuja





Guinée: une présidentielle qui marque le retour à l'ordre constitutionnel


