Considérée comme une activité de moindre importance du fait de multiples contraintes auxquelles elle était confrontée, la culture de l’oignon est devenue, selon le ministre du commerce Amadou Niang, un passage incontournable dans la réduction de la pauvreté et l’augmentation de revenus pour les horticulteurs tant au niveau de la vallée du fleuve Sénégal que dans la zone des Niayes. L’engouement dont fait l’objet cette spéculation, produite par près de 75% des horticulteurs, procède de l’instauration, par les pouvoirs publics sénégalais, d’un environnement favorable à sa production et à sa commercialisation
"En termes de couverture des besoins de consommation du pays, les possibilités déclinées par la production locale portent sur 7 à 8 mois. C’est dire que nous ne sommes pas loin d’atteindre l’autosuffisance en oignons", s’est félicité le ministre venu présider la cérémonie. Concomitamment, les commerçants et producteurs ont demandé à leur ministre que les importations d’oignons soient réduites afin de leur permettre d’écouler leur produit. Amadou Niang a ainsi fait savoir que les importations ont été réduites de l’ordre de 40% entre 2008 et 2010, impactant, de manière très sensible, sur les possibilités d’écoulement de la production locale d’oignons. Au-delà de cette opportunité, a-t-il ajouté, le déficit de la balance commerciale du pays s’en est trouvé réduite.
Par ailleurs, le ministre du commerce a fait savoir qu’il a signé l’arrête N° 3579/MCOM du 05 avril 2011 fixant le prix à la consommation de l’oignon local à 250 FCFA le Kg dans les régions autres que Ziguinchor, Kolda, Sédhiou, Tamba, Kédougou et Matam où le prix plafond est fixé à 275 FCFA le Kg.
"En termes de couverture des besoins de consommation du pays, les possibilités déclinées par la production locale portent sur 7 à 8 mois. C’est dire que nous ne sommes pas loin d’atteindre l’autosuffisance en oignons", s’est félicité le ministre venu présider la cérémonie. Concomitamment, les commerçants et producteurs ont demandé à leur ministre que les importations d’oignons soient réduites afin de leur permettre d’écouler leur produit. Amadou Niang a ainsi fait savoir que les importations ont été réduites de l’ordre de 40% entre 2008 et 2010, impactant, de manière très sensible, sur les possibilités d’écoulement de la production locale d’oignons. Au-delà de cette opportunité, a-t-il ajouté, le déficit de la balance commerciale du pays s’en est trouvé réduite.
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