La prise en charge de la requête du secteur privé national passerait par des mécanismes plus souples que l'adoption d'une nouvelle loi ou une révision "technique" de la loi sur les contrats de partenariat. C’est ce qui semble être l’avis de l’expert en PPP, le Dr. Aliou Sawaré. Joint au téléphone par PressAfrik.com pour des éclairages, il a fait savoir que si cette voie est empruntée, “ce partenariat prive-prive (entre secteur prive national et secteur prive international) serait très avantageux pour notre pays”. Il n’a pas manqué de souligner des écueils. Dr. Sawaré de faire savoir que l'adoption d'une nouvelle loi pourrait entraîner des complications, des lenteurs alors qu’il est, selon lui, possible de trouver des mécanismes plus rapides et plus rentables. «Le principe général peut résider dans les lois tout en trouvant des mécanismes plus avantageux pouvant permettre au secteur public d’avoir plus de quota dans les emplois générés par le Plan Sénégal Emergent (PSE)».
Par ailleurs, l’expert a renseigné sur les avantages qui s’attacheraient à l’exécution du PSE avec l’amélioration de la loi sur le partenariat. « La loi sur le PPP doit être améliorée sur beaucoup de points et cela permettrait de bénéficier des avantages. Notamment la création d’emplois, la valeur ajoutée au projet en termes de qualité du service, un transfert de technologie et de savoir-faire, mais surtout une optimisation de la dépense publique».
Par ailleurs, l’expert a renseigné sur les avantages qui s’attacheraient à l’exécution du PSE avec l’amélioration de la loi sur le partenariat. « La loi sur le PPP doit être améliorée sur beaucoup de points et cela permettrait de bénéficier des avantages. Notamment la création d’emplois, la valeur ajoutée au projet en termes de qualité du service, un transfert de technologie et de savoir-faire, mais surtout une optimisation de la dépense publique».
Autres articles
-
Monnaie unique ECO : la Cédéao alerte sur le retard des critères de convergence
-
Sénégal : hausse de 2,9% des prix à la consommation en rythme annuel, en novembre 2025, selon l'Ansd
-
Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko
-
Crise financière : «La dette cachée est une polémique qui n’a pas sa raison d’être» (Abdourahmane Sarr)
-
Guichets uniques et cybersécurité : les nouvelles priorités du commerce interafricain




Monnaie unique ECO : la Cédéao alerte sur le retard des critères de convergence


