« On avait des hypothèses, mais avec une contrainte, celle du fair-play financier. Il fallait qu’un joueur parte. Personne n’a voulu nous quitter, donc partant de là, on n’a pas pu recruter, c’est aussi simple que ça ». Le bilan du mercato parisien, ou le pourquoi d’une inactivité exceptionnelle depuis le début de l’ère qatarie, pourrait tenir en cette simple phrase, prononcée hier par Laurent Blanc en conférence de presse. Mais L’Equipe dévoile aujourd’hui les dessous du mercato francilien, certes régi par cette contrainte du FPF, mais à la tournure finalement décevante pour le staff.
En effet, comme l’assurait encore Blanc, le PSG s’attendait à davantage de mouvement. Le champion de France en titre voulait recruter un milieu excentré et avait fait de Kevin De Bruyne sa priorité. Mais l’opération n’a pu être lancée, faute de la vente... d’Ezequiel Lavezzi. L’ailier argentin était le sacrifié identifié par la direction et le staff parisiens, mais n’a pas souhaité plier bagages. Sans cette ressource attendue, le PSG a donc dû faire une croix sur tout renfort.
Car s’il a bien vendu un joueur, en l’occurrence Chantôme contre 750 000 €, le produit de ses ventes estivales et hivernales et le reste de l’enveloppe octroyée par la FIFA ne portaient ses liquidités transfert qu’à 6,25 M€ à en croire le quotidien sportif. Une somme bien insuffisante pour envisager un recrutement de qualité... Et de ce fait, le PSG version QSI n’a pas pu recruter sur un mercato pour la toute première fois.
-
CAN 2025 : « Assad », la mascotte officielle de la compétition, dévoilée
-
Ligue 1 : Pikine enfonce GFC, Gorée freinée, Wally Daan signe son premier succès
-
FC Barcelone : le père de Lamine Yamal a encore fait n’importe quoi !
-
Foot : Lionel Messi remporte la MLS avec l'Inter Miami
-
Ligue 1 : Première victoire du Jaraaf cette saison, Guédiawaye FC chute à zéro point après sanction





CAN 2025 : « Assad », la mascotte officielle de la compétition, dévoilée


