
La Jica vient en soutien aux acteurs du secteur de la pêche au poulpe. En effet, de l’avis de Mamadou Goudiaby, Directeur de la pêche maritime, l’atelier organisé en collaboration avec les acteurs du secteur abonde dans le sens de renforcer les capacités de ces derniers.
«L’accompagnement du Japon va se traduire d’abord par un renforcement de capacité, mais l’accompagnement du Japon va également au-delà de ce renforcement de capacité parce que le Japon est certes un partenaire dans la mise en œuvre du plan d’aménagement, mais le Japon est importateur», a-t-il déclaré.
Selon lui, l’appui des Japonais va aussi permettre «de corriger les difficultés que nous avons au niveau de la qualité». Et, affirme-t-il, ce sont ces difficultés qui gangrènent les productions qui se faisaient d’antan à l’image de l’année 1999 qui était considérée comme «une année exceptionnelle ».
Mais, M. Goudiaby indique aussi qu’un autre facteur est en train de menacer leur travail de renforcement de la qualité du poulpe sénégalais, relève-t-il. Et ce facteur c’est «le trempage du poulpe qui fait qu’aujourd’hui, c’est une pratique frauduleuse parce que cela fait augmenter le poids du poulpe».
Cet atelier a aussi réuni des Mauritaniens et des Marocains.
«L’accompagnement du Japon va se traduire d’abord par un renforcement de capacité, mais l’accompagnement du Japon va également au-delà de ce renforcement de capacité parce que le Japon est certes un partenaire dans la mise en œuvre du plan d’aménagement, mais le Japon est importateur», a-t-il déclaré.
Selon lui, l’appui des Japonais va aussi permettre «de corriger les difficultés que nous avons au niveau de la qualité». Et, affirme-t-il, ce sont ces difficultés qui gangrènent les productions qui se faisaient d’antan à l’image de l’année 1999 qui était considérée comme «une année exceptionnelle ».
Mais, M. Goudiaby indique aussi qu’un autre facteur est en train de menacer leur travail de renforcement de la qualité du poulpe sénégalais, relève-t-il. Et ce facteur c’est «le trempage du poulpe qui fait qu’aujourd’hui, c’est une pratique frauduleuse parce que cela fait augmenter le poids du poulpe».
Cet atelier a aussi réuni des Mauritaniens et des Marocains.
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