Après un premier lot réceptionné le 6 juin au port de Matadi, la Céni affirme avoir reçu un deuxième lot de quinze conteneurs il y a une semaine, soit quelque 20 000 machines à voter qui se trouvent déjà dans des entrepôts de Kinshasa.
Le reste des machines à voter, 80 000 à peu près, sont dans des bateaux. Ils doivent accoster notamment dans les ports de Mombassa et de Dar es-Salaam au plus tard le 5 novembre.
Des milliers de kilomètres à parcourir
Contrairement à Matadi, située à moins de 400 km de Kinshasa, les autres lots auront des milliers de kilomètres à parcourir par route ou par train, avant de rejoindre la RDC. Et c'est presque la partie la plus facile.
La Céni doit ensuite acheminer toutes les machines à voter et le reste du matériel électoral jusqu'aux centres de vote les plus reculés de l'immense Congo aux routes impraticables.
Pour cela, elle dit vouloir utiliser des camions militaires et civils et une dizaine d'hélicoptères, qui devaient être présentés ce week-end. Des motos, des vélos, des pirogues, et le transport à dos d'hommes prendront ensuite le relais.
Formation cruciale
Autre épreuve, la formation de ses agents. Seuls 180 formateurs sont prêts aujourd'hui. A leur tour, ils vont devoir former 25 000 autres techniciens qui seront déployés dans tous les centres de vote. Mais au final, ce sont plus de 500 000 agents électoraux qui devront être formés à l'utilisation de cette machine avant le 23 décembre.
La fondation Westminster, qui a procédé à une étude de la machine à voter, avait considéré la formation des agents comme cruciale pour éviter la mauvaise utilisation et les pannes.
Le reste des machines à voter, 80 000 à peu près, sont dans des bateaux. Ils doivent accoster notamment dans les ports de Mombassa et de Dar es-Salaam au plus tard le 5 novembre.
Des milliers de kilomètres à parcourir
Contrairement à Matadi, située à moins de 400 km de Kinshasa, les autres lots auront des milliers de kilomètres à parcourir par route ou par train, avant de rejoindre la RDC. Et c'est presque la partie la plus facile.
La Céni doit ensuite acheminer toutes les machines à voter et le reste du matériel électoral jusqu'aux centres de vote les plus reculés de l'immense Congo aux routes impraticables.
Pour cela, elle dit vouloir utiliser des camions militaires et civils et une dizaine d'hélicoptères, qui devaient être présentés ce week-end. Des motos, des vélos, des pirogues, et le transport à dos d'hommes prendront ensuite le relais.
Formation cruciale
Autre épreuve, la formation de ses agents. Seuls 180 formateurs sont prêts aujourd'hui. A leur tour, ils vont devoir former 25 000 autres techniciens qui seront déployés dans tous les centres de vote. Mais au final, ce sont plus de 500 000 agents électoraux qui devront être formés à l'utilisation de cette machine avant le 23 décembre.
La fondation Westminster, qui a procédé à une étude de la machine à voter, avait considéré la formation des agents comme cruciale pour éviter la mauvaise utilisation et les pannes.
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