Le ministre de l’Environnement Abdou Karim, au cœur d’un scandale présumé de la mort de gazelles oryx, au cours d’un transfert de Ranérou vers sa réserve privée à Bambilor, a activé ses services de communication pour servir sa version de l’histoire racontée par nos confrères de Source A.
Cependant, comme seule réponse aux graves accusations, le département d’Abdou Karim Sall avance l’argument de l’évolution, au Sénégal de la gestion de la faune « vers l’implication et la participation des populations locales et du secteur privé ».
Selon le communiqué long de trois (3) pages, il existe des conventions qui permettent aux privés, personnes physiques ou morales, de participer à la bonne gestion de la faune. « Le Sénégal a manifesté sa volonté de faire participer davantage le secteur privé national et les collectivités territoriales dans la valorisation de ses ressources naturelles », selon le texte parcouru par Emedia.
Le texte soulignent que ces protocoles d’accords ou conventions définissent le cadre du partenariat entre l’Etat représenté par le DNP et le promoteur qui peut être une personne physique ou morale. « (..) appréciant favorablement l’expérience de l’implication du secteur privé dans ce domaine de la conservation et particulièrement dans la gestion et la valorisation de la faune sauvage depuis les années 2000, le Ministère de l’Environnement et du Développement durable accompagne ainsi les initiatives privées via des protocoles qui portent sur l’acquisition à partir de ses sites, de noyaux de repeuplement d’espèces, conformément aux missions de la DPN », expliquent les services de communication du ministre sans jamais démentir les accusations très graves qui sont portées sur la personne de Abdou Karim Sall.
Cependant, comme seule réponse aux graves accusations, le département d’Abdou Karim Sall avance l’argument de l’évolution, au Sénégal de la gestion de la faune « vers l’implication et la participation des populations locales et du secteur privé ».
Selon le communiqué long de trois (3) pages, il existe des conventions qui permettent aux privés, personnes physiques ou morales, de participer à la bonne gestion de la faune. « Le Sénégal a manifesté sa volonté de faire participer davantage le secteur privé national et les collectivités territoriales dans la valorisation de ses ressources naturelles », selon le texte parcouru par Emedia.
Le texte soulignent que ces protocoles d’accords ou conventions définissent le cadre du partenariat entre l’Etat représenté par le DNP et le promoteur qui peut être une personne physique ou morale. « (..) appréciant favorablement l’expérience de l’implication du secteur privé dans ce domaine de la conservation et particulièrement dans la gestion et la valorisation de la faune sauvage depuis les années 2000, le Ministère de l’Environnement et du Développement durable accompagne ainsi les initiatives privées via des protocoles qui portent sur l’acquisition à partir de ses sites, de noyaux de repeuplement d’espèces, conformément aux missions de la DPN », expliquent les services de communication du ministre sans jamais démentir les accusations très graves qui sont portées sur la personne de Abdou Karim Sall.
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