Interpelé sur la question de l’énergie au Sénégal, le secrétaire général du parti socialiste a déclaré que les éléments d’une solution à la SENELEC avaient été trouvés par la recherche d’un partenaire stratégique en l’occurrence Hélio Hydro Québec.
«Toutefois, le nouveau pouvoir (arrivé le19 mars 2000) pensait qu’en rompant, qu’en dénonçant, de manière unilatérale, la convention, et en essayant de trouver un autre partenaire stratégique, il aurait des commissions à percevoir», raconte l’ancien portefeuille des affaires et Services présidentiels. «C’est cela le fond du problème. Il pensait qu’il y avait de l’argent à trouver là-bas», a-t-il martelé.
«Ce qui est faux puisque personne n’en voulait. D’ailleurs, les gens de Hydro Québec, nous accusaient de délit d’initié en disant qu’on leur a vendu quelque chose d’absolument», a narré le patron des Socialistes.
Par ailleurs, il a accusé Me Wade de favoritisme au profit de Karim Wade.
«Le Pouvoir veut, vaille que vaille, créer des conditions pour que Karim Wade réussissent là où certains ont échoué et le mettre à son crédit», a estimé Ousmane Tanor Dieng.
«Le gouvernement n’a jamais accepté la location des centrales. Aujourd’hui, il le fait», a-t-il rappelé en indiquant que « de toute façon, c’est une politique qui lui parait ni viable, ni acceptable ni réalisable».
Selon Tanor Dieng, il est inacceptable que notre énergie soit gérée par l’APIX et le ministère au grand dam des compétences de la SENELEC. «Notre énergie est gérée par l’APIX et le ministère. C’est tout à fait inacceptable. A quoi servent la direction et tous ces cadres compétents que nous avons au niveau de la SENELEC», se demande l’ancien ministre. «Aujourd’hui, c’est comme, la SENELEC, elle-même, en tant que structure est mise entre parenthèse», a regretté Tanor Dieng.
«Toutefois, le nouveau pouvoir (arrivé le19 mars 2000) pensait qu’en rompant, qu’en dénonçant, de manière unilatérale, la convention, et en essayant de trouver un autre partenaire stratégique, il aurait des commissions à percevoir», raconte l’ancien portefeuille des affaires et Services présidentiels. «C’est cela le fond du problème. Il pensait qu’il y avait de l’argent à trouver là-bas», a-t-il martelé.
«Ce qui est faux puisque personne n’en voulait. D’ailleurs, les gens de Hydro Québec, nous accusaient de délit d’initié en disant qu’on leur a vendu quelque chose d’absolument», a narré le patron des Socialistes.
Par ailleurs, il a accusé Me Wade de favoritisme au profit de Karim Wade.
«Le Pouvoir veut, vaille que vaille, créer des conditions pour que Karim Wade réussissent là où certains ont échoué et le mettre à son crédit», a estimé Ousmane Tanor Dieng.
«Le gouvernement n’a jamais accepté la location des centrales. Aujourd’hui, il le fait», a-t-il rappelé en indiquant que « de toute façon, c’est une politique qui lui parait ni viable, ni acceptable ni réalisable».
Selon Tanor Dieng, il est inacceptable que notre énergie soit gérée par l’APIX et le ministère au grand dam des compétences de la SENELEC. «Notre énergie est gérée par l’APIX et le ministère. C’est tout à fait inacceptable. A quoi servent la direction et tous ces cadres compétents que nous avons au niveau de la SENELEC», se demande l’ancien ministre. «Aujourd’hui, c’est comme, la SENELEC, elle-même, en tant que structure est mise entre parenthèse», a regretté Tanor Dieng.
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