Quarante-cinq personnes sont mortes le 21 mars dans une bousculade au stade de Dar es Salam, la capitale économique de la Tanzanie, où se tenait un hommage au président défunt John Magufuli, a annoncé la police, mardi 30 mars. Les autorités n'avaient pas jusqu'à présent communiqué de bilan.
Le 21 mars, des dizaines de milliers de Tanzaniens s'étaient rendus au stade Uhuru de Dar es Salaam où son corps était exposé, marquant le début d'une semaine d'hommages à travers le pays. Sur le chemin du stade, une foule dense avait salué le passage du convoi funéraire, pleurant, chantant et jetant des pétales de fleurs.
Selon les propos recueillis par l'AFP du commandant de la police régionale de Dar es Salaam Lazaro Mambosasa, il y avait beaucoup de gens qui voulaient entrer dans le stade. Ils ont forcé l'entrée et cela a causé une bousculade. Parc conséquent quarante-cinq personnes sont mortes dans l'accident. Un bilan qui inclut la mort de cinq personnes d'une même famille confirmé par Lazaro Mambosasa, qui ajoute que 37 personnes ont été blessées, dont la majorité a quitté l'hôpital.
Plus tard dans la journée, la foule avait envahi un terminal de l'aéroport au départ du cercueil vers la capitale Dodoma, où se tenaient le lendemain des funérailles nationales en présence de nombreux chefs d'État africains. Le corps de John Magufuli a été ensuite transporté sur l'archipel semi-autonome de Zanzibar et dans les villes de Mwanza et Geita, avant d'être enterré dans sa ville natale de Chato, dans le nord-ouest du pays.
Le chef d'État est officiellement décédé le 17 mars de problèmes cardiaques, dont il souffrait depuis une dizaine d'années, selon les autorités. Conformément à la Constitution, la vice-présidente Samia Suluhu Hassan a pris sa succession, devenant la première femme à diriger la Tanzanie.
Le 21 mars, des dizaines de milliers de Tanzaniens s'étaient rendus au stade Uhuru de Dar es Salaam où son corps était exposé, marquant le début d'une semaine d'hommages à travers le pays. Sur le chemin du stade, une foule dense avait salué le passage du convoi funéraire, pleurant, chantant et jetant des pétales de fleurs.
Selon les propos recueillis par l'AFP du commandant de la police régionale de Dar es Salaam Lazaro Mambosasa, il y avait beaucoup de gens qui voulaient entrer dans le stade. Ils ont forcé l'entrée et cela a causé une bousculade. Parc conséquent quarante-cinq personnes sont mortes dans l'accident. Un bilan qui inclut la mort de cinq personnes d'une même famille confirmé par Lazaro Mambosasa, qui ajoute que 37 personnes ont été blessées, dont la majorité a quitté l'hôpital.
Plus tard dans la journée, la foule avait envahi un terminal de l'aéroport au départ du cercueil vers la capitale Dodoma, où se tenaient le lendemain des funérailles nationales en présence de nombreux chefs d'État africains. Le corps de John Magufuli a été ensuite transporté sur l'archipel semi-autonome de Zanzibar et dans les villes de Mwanza et Geita, avant d'être enterré dans sa ville natale de Chato, dans le nord-ouest du pays.
Le chef d'État est officiellement décédé le 17 mars de problèmes cardiaques, dont il souffrait depuis une dizaine d'années, selon les autorités. Conformément à la Constitution, la vice-présidente Samia Suluhu Hassan a pris sa succession, devenant la première femme à diriger la Tanzanie.
Autres articles
-
Gabon: le ministre du tourisme sur la sellette, accusé de détournement de fonds
-
Guinée-Bissau: la commission électorale annonce qu'elle ne publiera pas les résultats des élections
-
Mali : le Jnim diffuse une vidéo des deux journalistes de l'ORTM enlevés il y a un mois et demi
-
Etats-Unis: au moins quatre morts et dix blessés dans des tirs en Californie, selon la police
-
Cameroun: élections régionales dans le contexte tendu de l'après-présidentielle




Gabon: le ministre du tourisme sur la sellette, accusé de détournement de fonds


