Mais pour la confédération indépendante des syndicats du Tchad (CIST), à l'origine du mouvement, ''ce n'est pas une raison pour ne pas payer les enseignants''.
Joint par la BBC, Mohamed Moussa, secrétaire général adjoint de cette confédération déplore que ‘’le salaire tombe tantôt avec dix jours, quinze jours, huit jours de retard’’, ce qui oblige les enseignants à entrer en grève après un mois et huit jours francs de travail sans salaire.
M. Moussa a indiqué que les syndicalistes ont rencontré dans la semaine, le ministre des Finances et du budget pour évoquer la situation, mais les enseignants ont insisté sur le paiement régulier et à temps de leurs salaires et des primes d’examens et concours, deux choses non négociables. La CIST voudrait aussi s'assurer que tous les enseignants tchadiens, jusqu'en province, ont perçu la totalité de leurs salaires avant d'appeler à une quelconque reprise de travail.
Source : BBC Afrique
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