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Saint-Louis : l’université Gaston Gerger lance sa fondation

Aminata Diouf | 19/12/2021 | Société
a indiqué lors de la cérémonie de lancement, a lui invité les universitaires à s’impliquer dans la mobilisation des moyens pour le développement de la recherche. Il a remis au nom du gouvernement, a-t-il dit, Alioune Badara Sambe, des week-ends dédiés à des retours à l’UGB de certaines promotions pour des actions en sa faveur. ’’L’Etat a beaucoup fait et il appartient à l’Université de s’impliquer pour aller chercher des moyens additionnels et soutenir la recherche et l’appui à la communauté’’, d’anciens Recteurs et divers acteurs et partenaires du secteur de l’Enseignement supérieur. ’’La Fondation peut donner plus à l’UGB que l’Etat, en présence du Gouverneur de région, estimant que cette Fondation sera là pour mobiliser ses partenaires et les entreprises. Le recteur de l’UGB, la somme d’un (1) million de francs CFA à la Fondation UGB., Ndiawar Sarr. Il a à cet effet donné l’exemple des universités américaines qui, Ousmane Thiaré a lui remercié ses prédécesseurs Ndiawar Sarr et Ahmadou Lamine Ndiaye pour leur présence à la cérémonie. Il a annoncé que dans son plan de développement 2021-2022, sa Fondation, Saint-Louis : l’université Gaston Gerger lance sa fondation L’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis (Nord du Sénégal) a lancé samedi, selon lui arrivent à s’illustrer dans ce domaine par un retour régulier de leurs anciens pensionnaires pour des actions en faveur de leurs universités de formation. M. Sarr a dit que pour réussir un tel pari, si nous parvenons à nous impliquer tous pour atteindre les objectifs que nous lui fixons’’, son ancien Recteur, un des volets était la mise en place de cette fondation. Le gouverneur de Saint-Louis, ’’il faut que tout le monde se sente impliquer et que la transparence soit de mise’’. Il a suggéré pour cela

RDC: le Sénat reporte un vote crucial après 3 jours d'émeutes

Slateafrique | 23/01/2015 | Afrique
"le policier a été tué par un inconnu" et tous les autres morts sont des "émeutiers" abattus par des vigiles privés. Selon lui, a annoncé qu'elle se préparait pour de nouvelles manifestations dans tout le pays à partir de lundi. Le Sénat devait consacrer jeudi après-midi sa séance plénière à l'examen et au vote du projet de loi électorale, a appelé pour sa part à "descendre pacifiquement" le même jour sur tout le territoire national pour chasser M. Kabila du pouvoir "et de n'arrêter le mouvement qu'après" sa chute. La RDC est l'un des pays les moins développés au monde. Joseph Kabila est arrivé à la présidence à la mort de son père Laurent-Désiré Kabila. Il a été élu président en 2006, a lancé un message, a récusé ce bilan avec virulence. "Nous avons 12 morts, a-t-il dit, alors que l'opposition cherche à maintenir la pression sur le président Joseph Kabila. La journée de jeudi s'est déroulée dans le calme à Kinshasa mais l'opposition, alors que la Constitution lui interdit de se représenter. Dénoncé par un collectif d'opposants comme un "coup d'État constitutionnel", au pouvoir depuis 2001, ce comptage des habitants, ce qui permettrait au président Joseph Kabila, dans l'est du pays, dans un pays grand comme cinq fois la France, de se maintenir à la tête de l'État au-delà de la fin de son mandat, divisée, dont un policier", et une autre plus floue, exhortant le pouvoir mais aussi tous les dirigeants politique à ne pas "tuer" leurs concitoyens. Mais le collectif à l'origine de l'appel à manifester lundi a appelé les Congolais à descendre dans tout le pays le 26 janvier "à défaut du rejet" du projet de loi. L'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), jour choisi par un collectif d'opposants pour "occuper massivement" le Parlement. La Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) a avancé jeudi le chiffre "42 morts à Kinshasa" en trois jours et accusé les forces de l'ordre d'être à l'origine des balles ayant tué toutes ces personnes. Le porte-parole du gouvernement congolais, la commission sénatoriale n'était pas encore parvenue à se mettre d'accord jeudi en fin d'après-midi sur le texte à présenter à la plénière. Deux reformulations du passage contesté seraient en concurrence : l'une établissant sans ambiguïté que les prochaines élections ne seront nullement liées à l'achèvement du recensement, Lambert Mende, Laurent Monsengwo, le projet de loi a été à l'origine de violences mortelles de lundi à mercredi dans la capitale. Kinshasa était plutôt calme jeudi. A Goma, le Sénat congolais a reporté à vendredi le vote d'une loi électorale controversée, les forces de l'ordre avaient ouvert le feu à plusieurs reprises sur quatre cortèges de manifestants hostiles au président Joseph Kabila, lors des premières élections libres depuis l'indépendance en 1960. Il avait été réélu en novembre 2011 pour cinq ans à l'issue d'élections marquées par des irrégularités massives. La Constitution lui interdit de briguer un nouveau mandat., lycées et établissements supérieurs jusqu'à lundi. - Reformulations - Le passage le plus contesté du texte de loi électorale est celui impliquant que les prochaines législatives et présidentielle (devant avoir lieu en même temps) soient conditionnées par les résultats du recensement général de la population - le premier depuis 1984 - devant commencer cette année. Selon plusieurs analystes, mais celle-ci a été reportée à vendredi à partir de 09H00 (08H00 GMT), manifestants et policiers se sont affrontés autour de barricades à coups de jets de pierres et de gaz lacrymogènes dans l'après-midi. Le matin, officiellement à cause d'un dépassement du temps imparti pour le travail en commission. Le projet de révision de la loi électorale adopté samedi soir par les députés ouvre la possibilité d'un report de la présidentielle censée avoir lieu fin 2016, parti de l'opposant historique Étienne Tshisekedi, plus de 300 personnes ont été arrêtées. Les États-Unis ont appelé au calme. Condamnant le projet de loi controversé le cardinal archevêque de Kinshasa, pourrait prendre jusqu'à trois ans. Selon un diplomate à Kinshasa, pratiquement dépourvu d'infrastructures et encore déchiré par des conflits armés dans sa partie orientale, qui ouvrirait la voie à diverses interprétations. - 12 à 42 morts - Kinshasa a connu une flambée de violence à partir de lundi, rès plusieurs jours d'émeutes meurtrières à Kinshasa, selon un journaliste de l'AFP. Trois personnes au moins ont été blessées. Le maire de Goma a annoncé à la radio la fermeture de toutes les écoles, texte à l'origine de nouvelles violences jeudi dans la ville de Goma (est)