L'apparition de gisements de pétrole et de gaz au Sénégal et la naissance d'une grosse polémique autour de la négociation des contrats d'exploration et d'exploitation de ces dernières ressources n'a pas échappé à la vigilance de la Banque Mondiale. A travers l'Ida (Association internationale de développement). Elle a accordé un crédit de 184 milliards Fcfa à l'Etat du Sénégal pour aider les institutions du pays à surmonter les complexités des accords dans le secteur des industries extractives.
D'après un communique de la Banque Mondiale, repris par le journal L'As, ce fonds va financer une assistance technique qui va contribuer à sécuriser les projets de développement pétroliers et gaziers au Sénégal de sorte qu'ils se déploient dans des conditions propices à des investissements privés respectueux de l'intérêt général. "Pour s'assurer que chacun des retombées de ces richesses naturelles, il sera indispensable d'améliorer la gouvernance du secteur extractif et de renforcer le cadre réglementaire et budgétaire, tout en promouvant une plus grande responsabilisation des pouvoirs publics vis-à-vis des citoyens", a souligné Louise Cord dans les colonnes du journal précité.
Le Directeur du pôle mondial d'expertise en Energie et industries extractives du groupe de la Banque Mondiale, Ricardo Puliti assure que "cette assistance technique va renforcer les capacités du gouvernement à négocier des accords équitables et à orienter les négociations vers des décisions d'investissement efficaces".
Pour rappel, l'Ida (Association internationale de développement) est une institution rattachée à la Banque Mondiale qui figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 77 pays les plus pauvres, dont 39 se trouvent en Afrique.
D'après un communique de la Banque Mondiale, repris par le journal L'As, ce fonds va financer une assistance technique qui va contribuer à sécuriser les projets de développement pétroliers et gaziers au Sénégal de sorte qu'ils se déploient dans des conditions propices à des investissements privés respectueux de l'intérêt général. "Pour s'assurer que chacun des retombées de ces richesses naturelles, il sera indispensable d'améliorer la gouvernance du secteur extractif et de renforcer le cadre réglementaire et budgétaire, tout en promouvant une plus grande responsabilisation des pouvoirs publics vis-à-vis des citoyens", a souligné Louise Cord dans les colonnes du journal précité.
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