Manœuvres au sommet dans le cadre du fumeux dossier de Karim Wade, ancien ministre sous le règne de son père Wade dont le procès est prévu ce 31 juillet. Un procès qui aurait déjà commencé en coulisses car livre le journal « l’As », avant de prendre les airs pour la France où Wade-père se trouve depuis cinq (5) jours déjà, le président sortant aurait discuté du dossier avec le camp du pouvoir. A la clé, cette proposition : «Arrêter (ses) incessantes attaques contre le pouvoir en place, au premier chef Macky Sall » ; en contrepartie, « un traitement magnanime sera réservé à Karim » qui sera certes jugé dans 12 jours devant la CREI mais ne devrait pas durer en prison. Après la condamnation, l’ancien ministre d’Etat, de la Coopération internationale, des Infrastructures,…devrait être gracié.
Dans cet ordre d’idée, il serait même prévu selon la source, le vote à l’Assemblée nationale d’une loi portant amnistie des faits de prévarications financières commis dans la période de 2000 à 2012. Mesure qui permettrait à Karim de recouvrer la liberté ainsi que tous les dignitaires libéraux ciblés dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis. Wade qui écarte toute idée de condamnation de rejeter la proposition. Il n’exige ni plus ni moins qu’un non lieu total car «il estime qu’une grâce présidentielle efface la peine mais pas les faits. Pour ce qui est de l’amnistie, elle efface non seulement la peine mais aussi les faits. Cependant, elle n’efface pas le souvenir », précisent nos confrères.
Dans cet ordre d’idée, il serait même prévu selon la source, le vote à l’Assemblée nationale d’une loi portant amnistie des faits de prévarications financières commis dans la période de 2000 à 2012. Mesure qui permettrait à Karim de recouvrer la liberté ainsi que tous les dignitaires libéraux ciblés dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis. Wade qui écarte toute idée de condamnation de rejeter la proposition. Il n’exige ni plus ni moins qu’un non lieu total car «il estime qu’une grâce présidentielle efface la peine mais pas les faits. Pour ce qui est de l’amnistie, elle efface non seulement la peine mais aussi les faits. Cependant, elle n’efface pas le souvenir », précisent nos confrères.
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