Ousmane Sonko se serait-il volontairement absenté lors des deux dernières marches, parce qu'il est devenu la cible prioritaire du régime actuel ? Le leader de Pastef qui est l'invité du Grand Jury dégage en touche et précise que s'il ne s'est pas présenté vendredi au centre ville pour réclamer le départ de Aly Ngouille Ndiaye, c'est parce qu'il était hors de Dakar.
"Je ne suis pas dans les contraintes organisées. J'étais hors de Dakar (vendredi) et lors de la marche organisée par l'IED le 09 janvier, j'étais hors du Sénégal, en Afrique du Sud pour des raisons professionnelles liées à ma fonction de députée", a répondu Ousmane Sonko avant de rappeler qu'en octobre 2016, il a été bien présent lors de la marche de l'opposition violemment réprimée par le forces de l'ordre. Il indique d'ailleurs avoir été particulièrement visée par les tirs de grandes lacrymogènes des forces de l'ordre. "Souvent on me dit : 'n'y va pas, parce que c'est toi qui es ciblé, parce que c'est à toi qu'on veut faire ceci, parce que les vieux politiciens...' mais je n'en tiens pas compte", dit-il
Le leader de Pastef a également invité le Premier ministre a arrêter de se tapir derrière les organes répressifs d'Etat pour se forger un triomphalisme. "Quand j'entends Boun Abdallah Dionne parler, j'ai toujours envie de rire. On ne peut pas toujours utiliser la police pour réprimer les marches de l'opposition pour faire du triomphalisme. Le rapport de force est très déséquilibré. Nous venons les mains vides. Et si c'était entre groupes d'hommes cela se passerait autrement", a-t-il assuré
"Je ne suis pas dans les contraintes organisées. J'étais hors de Dakar (vendredi) et lors de la marche organisée par l'IED le 09 janvier, j'étais hors du Sénégal, en Afrique du Sud pour des raisons professionnelles liées à ma fonction de députée", a répondu Ousmane Sonko avant de rappeler qu'en octobre 2016, il a été bien présent lors de la marche de l'opposition violemment réprimée par le forces de l'ordre. Il indique d'ailleurs avoir été particulièrement visée par les tirs de grandes lacrymogènes des forces de l'ordre. "Souvent on me dit : 'n'y va pas, parce que c'est toi qui es ciblé, parce que c'est à toi qu'on veut faire ceci, parce que les vieux politiciens...' mais je n'en tiens pas compte", dit-il
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