Après leur dernière marche interdite par le préfet de Pikine, les libéraux avaient décidé d'assièger la banlieue ce samedi avant de reculer pour céder le terrain aux femmes de l'Alliance pour la République (APR) qui avaient déposé une demande d'autorisation de "battre le macadam" pour riposter au PDS qui ourdi un nouveau plan d'action en vue de se départir "des gens particulièrement attirés par la violence" qui leur colle à la peau pour "gagner la bataille de l'opinion".
"Nous sommes dans le cadre d'une lutte de longue haleine dont la finalité est de gagner la bataille de l'opinion. La première fois que nous avions voulu marcher, on nous a opposé une interdiction du préfet de Pikine que nous avons respecté. Alors que, nous avons introduit une nouvelle demande d'autorisation, les tenants du pouvoir ont monté leurs jeunes et leurs femmes qui, pour faire dans la provacation, ont prévu de manifester. Puis que notre but, c'est la bataille de l'opinion, nous allons nous présenter en porteurs de message de paix, des gens qui ne cherchent pas la confrontation et qui sont prêts à laisser le tarrein à leurs adversaires. mais c'est un piège qui leur est tendu parce que si les autorités refusent aux apéristes leur marche, cela ne nous empêchera pas de dire qu'on les a monté pour nous provoquer". En revanche si la marche est acceptée, on dira qu'il y a deux poids deux mesures", a dévoilé un responsable de l'ancien régime sur les colonnes du journal, "L'As".
"Nous sommes dans le cadre d'une lutte de longue haleine dont la finalité est de gagner la bataille de l'opinion. La première fois que nous avions voulu marcher, on nous a opposé une interdiction du préfet de Pikine que nous avons respecté. Alors que, nous avons introduit une nouvelle demande d'autorisation, les tenants du pouvoir ont monté leurs jeunes et leurs femmes qui, pour faire dans la provacation, ont prévu de manifester. Puis que notre but, c'est la bataille de l'opinion, nous allons nous présenter en porteurs de message de paix, des gens qui ne cherchent pas la confrontation et qui sont prêts à laisser le tarrein à leurs adversaires. mais c'est un piège qui leur est tendu parce que si les autorités refusent aux apéristes leur marche, cela ne nous empêchera pas de dire qu'on les a monté pour nous provoquer". En revanche si la marche est acceptée, on dira qu'il y a deux poids deux mesures", a dévoilé un responsable de l'ancien régime sur les colonnes du journal, "L'As".
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