L’assurance est du conseiller technique du Premier ministre, Sidy Cissokho. La compagnie aérienne est non seulement au bord du gouffre mais va aussi coûter très cher à l’Etat car selon ce dernier pour que Sénégal Airlines continue d’exister, il « faut impérativement injecter 138 milliards ». Au risque pour le Sénégal de tomber dans l’illégalité aux yeux de l’Organisation pour l’Harmonisation des Droits des Affaires en Afrique (OHADA). Mais entre les pénalités internationales en cas de perte du pavillon national et l’Afrique, le pouvoir en place a vite fait son choix.
« Cela peut être considéré comme illégal aux yeux du règlement de l’OHADA qui veut que toute entreprise qui fait des pertes égales à son capital soit liquidée » mais « c’est un choix politique qu’on peut comprendre car l’Etat du Sénégal n’entend pas laisser mourir Sénégal Airlines de sa belle mort ». Ce, d’autant plus souligne Sidy Cissokho, « il est inconcevable de mettre en service l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) sans pavillon national ». Et pour le conseiller technique du Premier ministre livre « l’As »« avec la réglementation internationale, la perte d’un pavillon national entraîne des pénalités très importantes contre l’Etat concerné. Ce qui explique l’option prise par le Sénégal ».
« Cela peut être considéré comme illégal aux yeux du règlement de l’OHADA qui veut que toute entreprise qui fait des pertes égales à son capital soit liquidée » mais « c’est un choix politique qu’on peut comprendre car l’Etat du Sénégal n’entend pas laisser mourir Sénégal Airlines de sa belle mort ». Ce, d’autant plus souligne Sidy Cissokho, « il est inconcevable de mettre en service l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) sans pavillon national ». Et pour le conseiller technique du Premier ministre livre « l’As »« avec la réglementation internationale, la perte d’un pavillon national entraîne des pénalités très importantes contre l’Etat concerné. Ce qui explique l’option prise par le Sénégal ».
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